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title of the reference :
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Etude des inclusions fluides du système N(2)-CO (2) de dolomites et de quartz de Tunisie septentrionale
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Publication Date:
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1981
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Author :
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Guilhaumou Nicole, Dhamelincourt P., Touray Jean Claude, Touret J.
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Catalogue type :
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Livre
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Catalogue reference :
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Vol. 45 (USA) Geochim. cosmochim. acta Vol. 45 Etude des inclusions fluides du système N(2)-CO (2) de dolomites et de quartz de Tunisie septentrionale données de la microcryoscopie et de l'analyse à la microsonde à effet Raman. Cet article fait état d'analyses et d'études microthermométriques d'environ 400 inclusions fluides, dont la phase gazeuse est constituée de CO2 et de N2, de dolomites et de quartz néoformés dans les affleurements du Trias diapirique du nord de la Tunisia. Une précédente étude avait montré que les fluides inclus étaient des saumures, (NaCl et KCl)du CO2 et de l'azote, et occasionnellement des hydrocarbures liquides. Il s'agit d'un fluide initialement hétérogène. Dans les inclusions ne contenant pas d'hydrocarbures, on a déterminé les rapports molaires N2/N2+CO2 selon deux techniques différentes : l'analyse à la microsonde à effet Raman (MOLE), et l'estimation optique des volumes des phases présentes à basse température. L'accord des méthodes est satisfaisant. Ceci a permis de diviser les inclusions en trois classes de composition : (a)N2/(N2+CO2)? 0.57 : l'azote liquide est visible à très basse température (l'homogénéité s'opère de -151°C à -147°C température critique de l'azote): par ailleurs, la glace carbonique se sublime entre -75°C et -60°C. (b)0.20 ? N2/(N2+CO2)? 0.57. L'azote liquide et toujours visible à très basses températures mais la glace carbonique fond au chauffage et l'homogénéisation des phases carboniques s'effectue à basses températures (-51°C à -22°C): (c)N2/(N2+CO2)? 0.20. L'azote liquide n'est alors plus visible même à très basses températures: lorsque la fraction molaire d'azote n'est pas trop faible, on peut cependant soupçonner la présence d'un autre gaz que CO2 (homogénéisation des phases carboniques au-dessus de -15°C). A partir de ces résultats une étude préliminaire du système N2-CO2 a permis de tracer un diagramme de phase à basse température. Enfin, les isochores pour diverses compositions du mélange ont été tracés et l'addition des pressions pertielles effectuée dans l'hypothèse d'un mélange idéal. L'intersection de ces isochores avec ceux des solutions salines a permis l'estimation des conditions T et P de piégeage des fluides.
bibliogr. inclusion fluide ; gaz carbonique ; azote ; dolomite ; quartz ; géothermométrie ; géobarométrie ; histogramme ; microthermométrie ; spectre Raman ; Tunisie ; Tunisie Nord Occidentale Dhamelincourt P. Touray Jean Claude Touret J. Guilhaumou Nicole Roches Sédmentaires, Sédimentologie
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Indexation decimale :
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Roches Sédmentaires, Sédimentologie
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Keywords :
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inclusion fluide ; gaz carbonique ; azote ; dolomite ; quartz ; géothermométrie ; géobarométrie ; histogramme ; microthermométrie ; spectre Raman ; Tunisie ; Tunisie Nord Occidentale
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Summary :
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Cet article fait état d'analyses et d'études microthermométriques d'environ 400 inclusions fluides, dont la phase gazeuse est constituée de CO2 et de N2, de dolomites et de quartz néoformés dans les affleurements du Trias diapirique du nord de la Tunisia. Une précédente étude avait montré que les fluides inclus étaient des saumures, (NaCl et KCl)du CO2 et de l'azote, et occasionnellement des hydrocarbures liquides. Il s'agit d'un fluide initialement hétérogène. Dans les inclusions ne contenant pas d'hydrocarbures, on a déterminé les rapports molaires N2/N2+CO2 selon deux techniques différentes : l'analyse à la microsonde à effet Raman (MOLE), et l'estimation optique des volumes des phases présentes à basse température. L'accord des méthodes est satisfaisant. Ceci a permis de diviser les inclusions en trois classes de composition : (a)N2/(N2+CO2)? 0.57 : l'azote liquide est visible à très basse température (l'homogénéité s'opère de -151°C à -147°C température critique de l'azote): par ailleurs, la glace carbonique se sublime entre -75°C et -60°C. (b)0.20 ? N2/(N2+CO2)? 0.57. L'azote liquide et toujours visible à très basses températures mais la glace carbonique fond au chauffage et l'homogénéisation des phases carboniques s'effectue à basses températures (-51°C à -22°C): (c)N2/(N2+CO2)? 0.20. L'azote liquide n'est alors plus visible même à très basses températures: lorsque la fraction molaire d'azote n'est pas trop faible, on peut cependant soupçonner la présence d'un autre gaz que CO2 (homogénéisation des phases carboniques au-dessus de -15°C). A partir de ces résultats une étude préliminaire du système N2-CO2 a permis de tracer un diagramme de phase à basse température. Enfin, les isochores pour diverses compositions du mélange ont été tracés et l'addition des pressions pertielles effectuée dans l'hypothèse d'un mélange idéal. L'intersection de ces isochores avec ceux des solutions salines a permis l'estimation des conditions T et P de piégeage des fluides.
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Exemplaries :
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TU649
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